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PATHOLOGY

 

Are we all narcissists or even psychopaths, all hyperactive, do we suffer from a collective anxiety disorder? Is our society borderline? I would answer yes. No, it's not all that bad, nothing new under the sun is less fascinating anyway.

 

The split between being hypermorally correct in food, animal welfare, social interaction, ecological awareness and on the other hand to work by car, lobbying for industry or HR selections, summer invariably by plane, winter on the slats, every day a hobbies, etc.

All at once, no (con)sequences.

 

The neurotic about regulating social interactions, the hyper-surveillance of public space to make everything run smoothly. (We're better people in front of the camera.)

The great cleaning of public space, incident-free, oiled.

 

The pressure of consensus, the obligation to be social. Everyone has to participate, be ecstatic. Interacting continuously is a mandatory number. This is not about social relationships like friendship, but about exchanging disinterested, non-disgruntled or resentful gestures. How can you not hurt anyone.

 

I get cold from the Warmest Week.

 

Contradictions have disappeared, or rather contradictions no longer contradict each other. Opposites can both be true.

 

We agree. We understand each other better than ever. Today's racism is not the same as the slave racism of the 19th century. (Just as cruel and unjust.) Blacks are no longer a different species.

 

We know what should happen. We hyperventilate day and night, 24 hours a day, on the spot. Standstill, inertia, impotence, ....

 

Negativity is pathological, must be treated. The negativity evokes disgust. Energy must be positively wasted. Folding inwards is frightening for the community. Isolation is a sign of mental illness. Unless it is to meditate empty, functional to be able to perform extra afterwards.


 

 

 

PATHOLOGY

Sommes-nous tous des narcissists ou meme des psychopathes, tous hyperactifs, souffrons-nous d'un trouble d'anxiété collectif? Notre société est-elle borderline? Je repondrais oui. Non, tout n'est pas si grave, rien de nouveau, c'est néanmoins moins fascinant.

 

L'écart entre une hypermoralité concernant notre nutrition, le bien-être des animaux, les interactions sociales, la conscience écologique et de l'autre côté aller au travail en voiture, le lobbying pour l'industrie ou les selections RH, les voyages d 'été en avion, l'hiver au ski, chaque jour du sport, etc. Tout à la fois, pas de (con) sequences.

 

La surrèglementation neurotique des social interactions, l'hyper surveillance des lieux publics pour que tout se déroule sans heurts. (On est de meilleures personnes devant la caméra.) Le grand netyage des lieux publics, sans incidents, fluide.

 

La pression du consensus, l'obligation d'être sociable. Tout le monde doit participer, doit être extatique. L'interaction continues est un numero obligatoire. Il ne s'agit pas ici des relations socials telles que l'amitié, mais d'échanger des gestes sans provoquer la moindre inconvenance. Comment ne blesser personne.

 

Les contradictions ont disparu, ou mieux les contradictions ne se contestisent plus. Ce qui est la meme chose que dire qu'elles ne disent plus rien. Les deux opponents peuvent être vrais.

 

On est d'accord. On se comprend plus que jamais. Le racism actual n'est plus le racism des esclaves du 19ieme siècle. (But also cruel et injuste  † Les Noirs ne sont plus une autre espece animale.

 

On sait ce qui devrait se passer. Nous hyperventilons jour et nuit, 24 sur 24, sur place, rien ne bouge plus, l'inertie, l'impuissance, ..

 

Toute négativite est pathologique, doit être traitée. La négativite evoque le dégoût. L'energie doit être gaspillée positivement. Un homme rempli sur soi-meme est angoissant pour la society. L'isolement est un signe de maladie mental. Sauf si ce n'est que pour se vider en méditant, de façon fonctionnelle, pour renaître et après prester encore mieux.
 

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